Parce qu’il y a besoin d’une rénovation agronomique des sols au préalable qui ne grève pas le budget du futur porteur de projet, nous allons expérimenter des itinéraires culturaux pour remettre en vie les sols.
Les sols après la vigne cultivée en conventionnel sont probablement sans vie. Il s’agit de mettre toutes les chances du bon côté afin que le futur paysan est un minimum de garantie quant à la productivité de ses terres.
On ne peut anticiper les résultats de telle ou telle action. Cette rénovation prendra vraisemblablement plusieurs années. Elle suppose également le soutien des collectivités et des apports financiers diversifiés.
Une fois que la parcelle peut produire et que nous pourrons commercialiser la récolte, nous pourrons avoir une petite partie d’auto-financement de ces coûts.